non mais!!
je veux bien etre sympa mais quandje lis ça je deviens ouf!!!!!!!!
Tour de Suisse # 7. Le colosse allemand a résisté seul, pendant 60 kilomètres, au retour de ses compagnons d'échappée. Il signe sa deuxième victoire en trois jours.
Devant le coup de folie de l'Allemand, ses compagnons d'échappée restent pantois. La poursuite a du mal à démarrer. Après 9 kilomètres d'effort solitaire, Burghardt voltige avec une minute d'avance. Jamais l'écart ne redescendra en-dessous. Un seul coureur, l'Espagnol Luis-Leon Sanchez, excédé par le marquage au sein de la poursuite, croit encore à un possible retour sur l'ancien vainqueur de Gand-Wevelgem. A 35 km de l'arrivée, il se lance à son tour dans un effort solitaire. Revenu à 48 secondes de Burghardt à 25 km de l'arrivée, le Murcian constate que le retour est inenvisageable. Son projet est caduque. Il n'y a tout simplement rien à faire contre Burghardt, un ton au-dessus.
Pourvu d'une force teutonique dans les reins et dans les jambes, l'Allemand donne l'impression d'écraser les pédales. Au vu de l'écart, ce style se révèle payant. Même dans l'ascension des dernières aspérités de la journée, il parvient à conserver un écart inchangé d'une minute et quinze secondes sur ses poursuivants. La tête enfouie dans les épaules, ce grand gaillard de 1,89 mètre hisse sa grande carcasse, démantibulée par l'effort, en haut de la dernière bosse. Il ne lui reste plus qu'à plonger vers Wetzikon, le sourire aux lèvres, un drapeau allemand à la main sous les vivas du public germanophone. Sur cette septième étape, on retiendra aussi la seconde place d'Oscar Freire (Rabobank) qui revient en forme pour le Tour de France. Le peloton termine à six minutes. Mais, ces événements sont renvoyés au rang de l'anecdote tant Markus Burghardt a survolé de sa classe cette étape.
oh bande de collègues et de poulpes, qu'est ce que vous avez pour les 1,89 cm et plus de 80 kgs??????là j'suis énervé!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!